Hissons nos voiles
– Que souffle l’Esprit
« Ne soyez jamais des hommes et des femmes tristes, un chrétien ne peut jamais l’être. Ne vous laissez jamais prendre par le découragement.
Notre joie n’est pas une joie qui naît de la possession de nombreux biens, mais du fait d’avoir rencontré une personne, JÉSUS, qui est parmi nous.
Nous savons qu’avec Lui nous ne sommes jamais seuls, même dans les moments difficiles, même quand le chemin de la vie se heurte à des problèmes et à des obstacles insurmontables. Et il y en a tant.
Nous accompagnons et nous suivons JÉSUS, mais surtout nous savons qu’Il nous accompagne et nous charge sur ses épaules. En cela est notre joie, l’espérance que nous devons porter dans notre monde. » (Pape François, extrait de l’homélie du Dimanche des Rameaux.)
« En toute humilité et simplicité, le Pape François nous a appelés, le mardi 19 mars 2013, à être les protecteurs les uns des autres : protecteurs de la nature, des pauvres et des plus faibles. C’est dans une société qui est sous l’autorité de Dieu que le courage se manifeste, nous permettant de devenir la communauté humaine dont nous rêvons tous. [ ...] »
Il y a toutes les raisons d’être optimiste pour l’avenir de la foi chrétienne en ce monde. L’optimisme ne vient pas de nous, mais parce qu’à nous comme à tous, JÉSUS vient à nous et dit : « Courage, c’est moi, n’ayez pas peur. » Nous sommes appelés à sortir du confort de nos propres traditions et foyers pour nous lancer dans la houle, vers la main tendue du Christ. Encourageons-nous les uns les autres à suivre l’appel du Christ, à être clairs dans notre proclamation du Christ, engagés dans notre prière au Christ et NOUS VERRONS UN MONDE TRANSFORMÉ. »
(Homélie du Primat de la Communion anglicane, pour l’inauguration de son ministère, Dr Justin Portal Welby,
21 mars 2013, à Cantobéry).
Que notre Dieu vivant nous éclaire par son Esprit Saint pour que nous sachions choisir la voie qui mène au bonheur que seul le Christ peut nous procurer.
Accompagnés du Pape François,
« HISSONS NOS VOILES ET LARGUONS NOS AMARRES. »
par Paul-Eugène Marotte, ptre 8 sept 2013