Je trouvais beau et bon de lire cette pensée de Padre... mais le moyen suggéré résonne tristement en moi.
Heureusement que Padre n'est pas notre Dieu, imaginez un Père aimant qui réclame la souffrance comme signe par excellence de l'amour!
C'est à l'amour que notre Dieu mesure notre vie... pas à la quantité de souffrance que nous nous serions imposée
La souffrance sans l'amour n'est rien, elle n'est que pure absurdité! Est-ce que je suis tout seul à penser cela?
Le vieux nostalgique